Alors que Geert Noels et quelques autres économistes aussi bien francophones que néerlandophones ont tenté d’attirer l’attention des politiques sur le déficit croissant d’entrepreneurs, dans un pays qui aurait plutôt tendance à les décourager objectivement, voici une nouvelle mesure qui risque de renforcer encore un peu cet état de fait.

Normalement, jusqu’ici, lorsqu’un actionnaire apporte à une société de l’argent (apport en numéraire) ou des actifs (apport en nature), il augmente le capital de cette société, mais il a bien entendu le droit, le jour où la société est mise en liquidation, de récupérer son apport, souvent issu de ses économies (pour le numéraire) ou d’achats effectués avec (pour les apports en nature).

Ça paraît assez logique, au point de tomber sous le sens. Pensez-vous ! Nous sommes au pays du surréalisme. Ne l’oublions pas…

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