Certains de nos lecteurs sont des professionnels qui disposent à la fois de meilleures informations et d’une vue meilleure sur ce sujet, qui les occupe quotidiennement. De plus, à propos d’immobilier, nous sommes tous concernés et chacun a sa religion.
Pas de grande révélation à attendre ici. Par contre, non seulement s’attarder sur l’immobilier est une nécessité, mais vu que les approches patrimoniales plus « physiques » sont appelées à connaître un certain essor, il convient de s’attarder sur la principale.
Une des raisons qui nous y pousse réside dans la récente norme belge, rendue publique par le journal « Le Soir », le 17 février dernier, qui titrait : « Selon la Banque nationale de Belgique, des « poches de risques existent sur le marché belge ». Le régulateur va décourager les banques de prêter sans un apport du client supérieur à 20 % de la valeur du bien. »
Qu’est-ce que cela va changer ? De manière générale ? Pour un particulier ?
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