Trump a annoncé « la plus grande réforme fiscale depuis Reagan », … mais il n’a rien dit de plus. Même si cela a suffi pour que Wall Street aligne un nouveau plus haut historique, c’est une affaire à suivre de près.
Petit rappel. Le tonitruant et ultra-truculent Président des Etats-Unis d’Amérique devait récemment faire une violente guerre commerciale à la Chine, mettre à genoux le Japon pour son méchant dumping, entre autres. Finalement il semblerait que la caravane va pouvoir suivre son cours tranquillement puisqu’il aboie, mais ne mord pas. Il a rassuré la Chine. Il a ensuite déroulé le tapis rouge à Monsieur Shinzo Abe en déclarant que les États-Unis n’avaient pas de meilleur allié que le Japon. Comme quoi, être créanciers du plus gros dépensier du monde, ça aide…
Plus discret : il a aussi oublier d’inclure, par exemple, l’Arabie Saoudite dans la liste des pays frappés par son décret de blocage d’immigration. Il se déchaîne seulement sur des pays, comme le Mexique, qui n’ont pas les moyens de lui répondre. Pas beau, de taper sur les plus faibles. Moins risqué, mais pas beau.Trump announced « the biggest tax reform since Reagan, » but he did not say anything more. Even if this is enough for Wall Street to align a new historical high, it is a matter to follow closely.
Little reminder. The thundering and ultra-ruthless President of the United States of America was recently to make a violent trade war with China, to kneel Japan for its evil dumping, among others. Finally it seems that the caravan will be able to follow its course quietly since it barks, but does not bite. He reassured China. He then unrolled the red carpet to Mr. Shinzo Abe stating that the United States had no better ally than Japan. Like if, being creditors of the biggest spender in the world, would help…
More discreet: he also forgot to include, for example, Saudi Arabia in the list of countries struck by its decree blocking immigration. He unleashed only on countries, such as Mexico, which do not have the means to respond. Not very nice to tap on the weak. Less risky, but not very nice.