La semaine dernière, je m’étais répété  en indiquant que l’Europe se préparait à la guerre et que les impôts, sous toutes leurs formes, avaient toutes les chances d’augmenter, surtout sur le patrimoine.

De plus en plus, je surpris (et désolé) de voir à quel point je « tape dans le mille ».

En France, trois pistes circulent à propos du « coût de la dette ».

Aucune ne va dans le sens de la réduction des dépenses, ai-je encore besoin de le préciser ?

Les trois pistes sont:

– Renforcer la contribution sur les hauts revenus (non définis, la médiane étant à 2.500 euros net par personne qui travaille – 70% des 16-24 ans -, tandis qu’on se souviendra des mots d’un Président pourtant issu d’une classe privilégiée, qui considérait que les personnes qui gagnent 4.000 euros et plus devaient être considérées comme « riches »).

– Taxer les holdings jugées « non productives ».

– Instaurer un plancher d’imposition sur le patrimoine.

Les dépenses militaires : ce n’est pas qu’il n’en faille pas, mais… Un obus, soit c’est un truc qu’on a produit pour le mettre dans un coin, soit on s’en sert.

Dans le premier cas, ce n’est pas très productif, et dans le deuxième, c’est encore une moins bonne nouvelle pour l’économie.

Ceux qui pensent qu’on peut « relancer » l’économie par l’armement se fourrent le doigt dans l’œil jusqu’aux omoplates.

Jadis tourné vers l’automobile, l’entreprise Rheinmetall, dont je ne pense pas avoir besoin de donner la nationalité, vient d’inaugurer la plus grande usine de munitions d’Europe. 500 millions d’euros ont été investis.

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