Pour avoir osé, non sans un certain panache dont la France sait si bien parfois faire preuve, dire m… à un allié à qui nous devons tant, et qui manquait « peut-être un peu » de preuves à propos de la légitimité de la deuxième guerre du Golfe… pour cette combativité et cette gouaille à avoir « nické couille molle »…

Pour ces phrases immenses : « L’Europe, ça m’en touche une sans faire boucher l’autre », « Mais qu’est-ce qu’elle veut, cette mégère, mes couilles sur un plateau ? », mais aussi voire surtout celle-ci : « Je préfère nettement le saucisson aux amendes pour excès de vitesse »…

J’ai mangé une tête de veau commémorative en votre honneur, dimanche, car vous n’étiez pas seulement le Président préféré des français en général, mais quelqu’un que j’appréciais énormément, Monsieur le Président.

Puissiez-vous reposer en paix.