Alors que les chinois développent leurs propres trains à grande vitesse, en parallèle de leurs aéroports, dans le but qu’aucune ville chinoise ne soit à plus de deux heures d’un aéroport, ce qui va donner des ailes à leur industrie naissante du train à grande vitesse (créée sur la base de contrats français et allemands qui comprenaient des clauses de transfert technologique), la décision de la petite danoise est… foncièrement débile.

Peut-être que cette danoise non-élue qui décide gentiment d’interdire cette fusion entre Alstom et Siemens ira, à l’instar de José Manuel Barroso, rejoindre un groupe multinational d’origine et à capitaux américains lorsqu’elle aura fini son office à la Commission, mais sa décision provoque un (très timide début de) sursaut salvateur.

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