Lors de la frénésie médiatique autour de Chat GPT, quelques copains parisiens avaient décidé de se réunir pour se demander comment et dans quelle mesure leurs boulots respectifs (avocats, graphistes, …) seraient impactés et comment s’adapter au mieux à ces futures évolutions induites par l’IA.

L’idée était de faire entre eux  un « brainstorming » sur le sujet.

En fait de brainstorming, en bons français, chacun amena chez celui qui recevait, qui du vin, qui des cuisses de canard confites, qui du foie-gras, qui du fromage…

Après une bonne rigolade et des agapes de plus de trois heures dont le résultat aurait fait s’endormir en plein combat les armées de Napoléon, il était quand même un peu temps de penser à se mettre au travail.

L’un des joyeux convives en vint à dire en substance, voire même en ces termes, à proposer ceci : « Pourquoi s’em… ? On a qu’à demander à Chat GPT, justement. »

Et c’est ce qu’ils firent, pour découvrir que d’après ChatGPT, leurs métiers étaient parmi les plus menacés, parmi ceux qui seraient impactés le plus vite te le plus fort.

Ils ne furent pas les seuls à effectuer cette démarche (je parle de la question posée à Chat GPT, pas du repas), et la réponse se trouve partout sur Internet : même si vous ne disposez pas de Chat GPT et même sans mon aide, vous la trouverez en deux clics.

Ici s’achève mon anecdote et commence les choses sérieuses.

Un autre parisien a eu récemment une idée du même genre, un petit cran plus loin.

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