Dans la plupart de mes lettres, je souligne que la bourse est surévaluée. Entre les règles comptables, d’une part, qui permettent déjà de prendre en compte un « goodwill », c’est-à-dire des « actifs intangibles » tels des brevets, mais aussi la marque, ou d’autres actifs  dans des proportions hallucinantes (70% de la valeur comptable moyenne du NYSE Industrial Average) et les effets multiplicateurs (on est très au-dessus, à largement plus de vingt-cinq fois le bénéfice moyen), ça ressemble vraiment de plus en plus à un casino.

Les professionnels ne s’y trompent pas, et ils semblent préférer de plus en plus le « private equity », c’est-à-dire le non côté.

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