Alors que ces deux institutions qui conservent un ancrage belge, notamment au travers de leur actionnariat et de leur assiette de clientèle, ont déjà manqué de faire faillite une première fois vers 2008, et nonobstant cet actionnariat et ces aides publiques, n’est-il pas plus que significatif de lire que, désormais très officiellement, Ethias et Belfius refusent d’assurer les pensions complémentaires du secteur public belge ?