Rappelons dans quel monde on vit.

On va arrêter le nucléaire qui ne produit pas du tout e CO2, et subventionner les éoliennes (qui ne fonctionnent, par définition, que quand il y a du vent) et le solaire (qui fonctionne nettement moins bien la nuit, c’est-à-dire à peu près 50% du temps), même si on sait pertinemment que ça va surtout augmenter la production au charbon et au gaz.

Il est vrai que pour les éoliennes, ça partait comme une bonne idée : vu le nombre de politiciens et de gens subventionnés qui brassent de l’air, en Europe, on aurait pu penser que ça allait résoudre tous nos problèmes énergétiques.

En gros, le monde est simple. Très simple. Pas cohérent du tout, mais vraiment très simple. Désormais, pour sauver la planète menacée par la production de CO2, et bien que tout le reste de la planète continue « à l’ancienne », en Europe, il faut tout faire et son contraire : ne pas réfléchir, se digitaliser à outrance avec les derniers modèles de tout, mais s’assurer que tout est super-recyclé.

De manière plus générale, on passe tellement de temps à s’assurer qu’on fait tout bien qu’on ne fera bientôt vraiment plus rien d’autre !

La question à se poser est la suivante : est-ce que les entreprises européennes, dont la productivité et donc les parts de marché mondial baissent dangereusement, peuvent  se permettre tous ce luxe ?

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