Outre qu’ils embarquent entre 30%  et 40% de métaux en plus qu’un véhicule thermique, outre qu’ils embarquent infiniment plus de métaux « rares », outre qu’ils sont infiniment plus tournés vers « l’obsolescence programmée » et outre donc, vu ce qui précède, qu’on peut avoir un sérieux doute sur leur caractère véritablement écologique, les véhicules électriques qui favorisent l’industrie asiatique, coûtent, dans la réalité, entre 25% et 30% plus cher qu’un véhicule thermique.

Si les gens les achètent, c’est parce que, jusqu’ici, ces véhicules sont (outrancièrement) sponsorisés par des états par ailleurs surendettés et manifestement peu soucieux des effets sociaux de leur politique, à savoir : chômage de masse annoncé dans la filière auto Européenne et exclusion d’une très grande partie de la population de la « nouvelle mobilité ». Ainsi, le saviez-tu ? La disparition de plus en plus de petits véhicules à un prix abordable du catalogue de producteurs européen a fait flamber le prix des petites automobile de ceux qui en produisent encore de… 41% entre 2019 et 2023, record abolu !!! Et quoiqu’il soit question d’automobile, ce ne sont pas les allemands qui tirent le mieux leur épingle u jeu de cette « évolution ».

En outre, pour l’instant, la consommation des véhicules électriques est d’ores et déjà supérieure en coût à celle d’un véhicule diesel (qui, lui se recharge en moins de cinq minutes à peu près partout, pour rappel et quand bien même c’est assez évident).

Sans subventions, ces véhicules, le consommateur ne les achèterait purement et simplement pas. Si vous en doutez, tournez-vous vers l’Allemagne qui, bien plus raisonnable dans la gestion de ses finances publiques que nombre de ses voisins, a coupé les subventions cette année. Résultat ? Effondrement des ventes de véhicules électriques de plus de … 85% (source : observatoire allemand de l’industrie).

Or, il était assez évident aussi que, tôt ou tard, ces mêmes états Européens qui critiquent le pétrole tout en oubliant de mentionner qu’ils perçoivent plus que la part du lion sur chaque litre consommé (on passe la barre des … 85% du prix payé par le client final!) n’allaient pas se passer éternellement de cette manne.

Ça y est. La ville de Bruxelles donne l’exemple et taxe les bornes électriques.

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