Quelque chose qui intéresse de très près les investisseurs et autres spéculateurs boursiers, tout comme les gestionnaires les plus compétents, ce sont les « indices avancés », c’est-à-dire des relevés économico-économiques qui sont supposés indiquer des tendances avant qu’elles soient intégrées ou diffusées dans l’économie et dans le marché.

Parmi ceux-ci, il en est un, en France, qui intéresse particulièrement les agences de notation.

Depuis qu’elle a décidé d’attirer les investissements étrangers, ce en quoi elle a particulièrement bien performé depuis 2010, il faut bien le dire, la France publie chaque année un fascicule sur son indice d’attractivité.

Ce fascicule extrêmement bien fait et que vous pourrez consulter ici, est d’autant mieux conçu qu’il est écrit par l’ensemble des conseillers du commerce extérieur de la France, en ce compris donc plusieurs d’entre eux qui sont en poste dans des Ambassades étrangères.

On y découvre donc un point de vue qui tient compte non seulement de critères lisibles par les étrangers, mais aussi écrit en tenant compte du point de vue desdits étrangers.

Ce fascicule fait référence à nombre de critères suggérés par l’OCDE, organisme que j’ai pu critiquer par ailleurs quant à sa dimension politique, mais auquel je n’ai strictement rien à redire en la matière, pas plus qu’en matière de comptabilité et de transparence, bien au contraire : c’est quand même plus facile de comparer, quand tout le monde utilise les mêmes critères et compte de la même façon.

En l’occurrence, la semaine dernière, j’ai souligné que la France pouvait se targuer d’un tissu d’entreprises particulièrement riche et de quelques autres atouts.

Nul n’est prophète en son pays et ce que je n’ai pas mentionné, c’est ceci…

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