Mes articles du jour et ceux de la semaine dernière ont dû vous convaincre de la prépondérance des enjeux énergétiques sur l’ensemble des autres enjeux, qu’ils soient économique ou plus directement militaire ou géopolitiques.
La semaine dernière, nous sommes d’abord parti d’une analyse qui se voulait transversale de la rivalité USA vs Chine.
Nous avons évolué vers le point de compétition entre TOUTES les zones économiques et pays développés : l’énergie, et précisé pourquoi l’énergie nucléaire, en particulier, constituait le point focal de toutes ces compétitions.
Nous avons ensuite détaillé les logiques qui s’affrontent, aussi bien au niveau des logiques organisationnelles « profondes » (les cultures « bottom up » ou « top down », induites incnsciemment par des siècles d’histoires), et des logiques technologiques différentes.
A ce point, et en résumant énormément notre propos, nous avons terminé en opposant le projet « ITER » mené par TOUS les états développés, la Chine collaborant ici avec les USA, et la logique des « start up » de l’énergie fissile.
Avec une certaine mauvaise foi qui elle aussi est probablement bien ancrée dans une certaine culture nationale, nous avons laissé entendre que le projet ITER serait français, ce qui est faux : c’est un projet international, peut-être le projet qui réunit le plus l’ensemble des pays de l’humanité.
Nous avons aussi laissé entendre qu’ITER permettait beaucoup d’espoirs…
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