« Digital natifs ou digital naïfs ? That’s the question. »

Lorsqu’on peut observer que les politiciens d’aujourd’hui sont e plus en plus des hyper-communicants, on peut douter, ne fut-ce qu’en raison du temps qu’ils passent à se faire beau et à raconter leur vie sur Facebook, que les personnes qui sont douées pour se faire apprécier et élire soient aujourd’hui autant qu’hier, les mêmes que celles qui gèrent la chose publique.

Le politicien moderne devient, de facto, un simple « porteur de légitimité démocratique », tandis que la gestion de la chose publique qui est faite en cascade en son nom et au nom du peuple, est de plus en plus l’apanage d’une technostructure opaque que cet état de fait arrange très bien.

Au-delà de ce constat que tout le monde a pu faire peu ou prou et plus ou moins consciemment ou instinctivement, il est d’autres analyses qui ne manquent pas non plus d’intérêt quant à l’évolution du monde et quant aux façons de s’y adapter.