Késako ?

Le « quiet quitting » consiste à rester dans son job mais d’en faire le strict minimum nécessaire et rien de plus. Ah, si : utiliser une partie de son temps de travail pour faire d’autres choses plus personnelles.

J’ai comme l’impression que particulièrement dans les grandes institutions, surtout celles qui se savent soutenues par les états, seul le mot est nouveau. La pratique, elle, me paraît trèèèèès ancienne.

Je n’ai pas l’impression que ça tracasse grand monde… pour le moment. Et, malheureusement, j’ai bien l’impression aussi que l’inertie que cette pratique répandue génère est contagieuse…

Vivement un peu de récession, qu’on fasse le ménage.