L’homme se croît important, mais il ferait bien de relativiser. L’ensemble de la biomasse, sur terre, représente moins de 3% de la masse terrestre totale (végétaux, algues, coraux, … compris).

Nous, l’homme, représentons moins de 1% de cette biomasse.

Pour présents que nous soyons, nous occupons, en termes d’habitat et en comptant large, moins de 3% de la surface terrestre.

Les cloportes et quantités d’autres insectes sont sur cette terre depuis infiniment plus longtemps que nous. Les bactéries depuis plus longtemps encore.

En plus de 5 milliards d’années, la terre a eu l’occasion de se réchauffer et de se refroidir deux ou trois fois.

Rappelons que si lorsqu’il l’a découvert, vers l’an 800, Erik le Rouge a choisi d’appeler le Groenland, … « Groenland », c’est bien parce qu’il n’était précisément pas gelé.

Il y a, certes, des bouleversements climatiques observables et qui ne sont pas sans conséquence pour l’homme, loin de là. De là à dire que nous en sommes responsables et que ce n’est dû qu’au CO2, il suffit de se reporter à la partie scientifique du rapport du GIEC pour, modestement, s’apercevoir, qu’on n’en sait toujours rien du tout. Le GIEC émanant de l’ONU qui est transparente et publie tout en ligne, mon propos est aisément vérifiable.

Par contre, hyper-intéressant, un rapport établi par l’association mondiale des Réassureurs avec l’Organisation météorologique mondiale (une autre branche de l’ONU)…

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