Lorsque je lis, j’ai tendance privilégier soit des lectures très anciennes (L’Iliade, l’Odyssée, les Bucoliques, les Métamorphoses… ce genre de chose), soit des ouvrages qui ont été largement traduits : dans un cas, ce sera le temps qui aura fait office de tamis, dans l’autre, je me dis que si l’on a pris la peine de traduire un ouvrage, c’est qu’il en valait sans doute la peine.

Que cela soit en raison de la qualité de la rédaction ou du contenu, il semblerait que ce soit là deux filtres qui ne fonctionnent pas si mal, puisque je suis rarement déçu.

Mais peut-être aussi suis-je un enthousiaste optimiste ?

C’est précisément d’optimisme qu’il est question dans « Factfullness », qui est le livre de plus en plus traduit (il est d’origine Suédoise) préféré de bien des gens, à commencer par une toute grosse fortune, qui veut le faire connaître à tout le monde.

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