La mondialisation et la numérisation des économies ont bouleversé les modèles d’affaires et les chaînes de valeur.
Ces deux phénomènes ont aussi déstabilisé les systèmes d’imposition, en contribuant à l’érosion des bases fiscales traditionnelles et en affaiblissant la capacité des états à taxer certaines entreprises.
En outre, tout ce que les états envisagent, ils semblent l’envisager de façon macro-économique, alors que la crise du Covid met par terre des secteurs entiers (Horeca, spectacles…), tandis que d’autres réalisent des profits mirifiques comme jamais (pharmaceutique, médical, commerce internet et solutions informatiques de travail à distance…).
Une approche plus segmentée serait sans doute souhaitable.
Mais est-ce qu’une approche par taille d’entreprise ne serait pas souhaitable, elle aussi ?
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