Conviction personnelle affichée, voire martelée dans ces lignes depuis longtemps, je suis persuadé que les institutions de l’UE sont appelées à se dégonfler et vu qu’elles sont le moteur économique principal de la ville Bruxelles, j’aurais tendance à ne pas investir dans cette ville.

A l’heure même où j’écris ces lignes, les représentants de l’UE rencontrent des (dirigeants ?) de l’agglomération de Bruxelles-capitale pour annoncer que l’UE compte passer de 50 à 25 bâtiments.

Plus exactement, c’est ce que le Commissaire Européen Hahn est en train d’annoncer à Rudy Vervoort.

Ajoutez à cela le fait que la ville décourage très violemment les voitures mais sans proposer d’alternative et ajoutez encore le télétravail, qui a convaincu de ses bienfaits nombre de « navetteurs » bruxellois probablement plus encore que beaucoup d’autres Européens et vous aurez compris pourquoi je ne suis pas près de changer d’avis.