Mark Karney est un canadien d’origine, qui est à la tête de la banque d’Angleterre. Il a prédit ou à tout le moins mis en garde l’establishment britannique qu’un « hard brexit » pourrait être synonyme d’une chute de 25% à 35% des prix de l’immobilier britannique, du fait de la conjonction de délocalisations et d’une hausse des taux. Il s’est référé à ce qui avait été observé en 2008 où il n’y avait eu « qu’un » ralentissement et qu’une « hausse des taux ». Mais est-ce vraiment mieux sur le Continent ?

Pas sûr.

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