Revenons un peu au Luxembourg.

Cela fait déjà quelques années que, si cela va toujours nettement mieux qu’ailleurs dans ce pays, et s’il n’y est pas du tout mal vu de travailler, bien au contraire, nombre d’indices ne sont pas orientés dans le bon sens.

Malgré le fait que ces indices s’accumulent, depuis des années, nombre de personnes qui en sont bien conscientes, mais dont les intérêts directs et le train de vie sont liés au pays persistent à essayer de se convaincre que, tel Parker Lewis, « le Luxembourg s’en sort toujours ».

Quoique … récemment, un des directeurs de l’association des entreprises luxembourgeoises m’expliquait lui-même qu’il déplorait que les politiciens luxembourgeois comptent à ce point sur la chance… et aussi pas mal sur la supériorité de la bêtise des pays voisins, même si, en homme bien élevé, ne l’a jamais exprimé de la sorte.

Il n’y a donc pas vraiment de plan, pas vraiment de projet.

Il semblerait que le temps des conséquences commence à se faire sentir, juste au moment où pas loin de … 230.000 personnes vont partir à la retraite (chiffres prévus d’ici 2030-2035), ce qui, à l’aune de ce pays et vu le poids des frontaliers dans le secteur privé, est gigantesque.

(Quoique très essentiellement axé sur le Grand-Duché de Luxembourg, nombre de remarques et d’informations contenues dans cet article ont une portée plus générale et sont susceptibles d’alimenter les réflexions de mes lecteurs que ce pays intéresserait moins).

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