A l’heure actuelle, en Belgique comme en France, les médias de masse tirent environ 70% de leurs revenus des subsides de l’état. Le reste provient très essentiellement de la publicité financée par de grands groupes qui marchent nécessairement main dans la main avec des états, ne fût-ce que parce qu’ils ont besoin d’autorisations pour faire ce qu’ils font.
Il est donc compréhensible que, même sans être comme certains, enfermés dans le politiquement correct au point de ne plus voir la réalité, ce qu’on voit au travers des médias est pour le moins orienté.
Et puis, il y a aussi ce qu’on ne voit pas.
Madame Von der Leyen est inculpée depuis des années dans le scandale Pfizer, procédure pénale dans laquelle elle est parjure avérée (elle a déclaré n’avoir pas échangé de SMS/textos avec le Boss de Pfizer et c’était un mensonge), et l’enquête n’est plus diligentée, la procédure n’avance plus, sans qu’on sache trop pourquoi.
Même traitement pour la quasi-totalité des inculpés du QatarGate, pourtant pris au sens propre « la main dans le sac » il y a déjà un bon bout de temps.
On ne parle pas, ici, de députés européens qui ne se rendent pas dans un Parlement qui est avant tout une chambre d’entérinement et qui donneraient une grosse partie de leurs indemnités à leur parti : ceux-là sont poursuivis et condamnés, et pas qu’un peu, leur condamnation connait une énorme publicité.
Interesting.
Ce qui se sait moins, même si tout le monde en a confusément l’idée, c’est que la Belgique est un véritable paradis pour la corruption.
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