Comme le faisait judicieusement remarquer le quotidien Français « les Echos », au contraire de la première, la deuxième vague ne s’accompagne ni d’humour, ni de solidarité alors que les coûts économiques et sociaux grandissent.
Je dirais que c’est un signal faible dont il conviendrait de tenir compte.
Il faut d’autant plus en tenir compte que le recul de la démocratie devient de plus en plus manifeste lorsque, par exemple, monsieur Lallement déclare « J’ai décidé »…, « J’interdis », en s’exprimant tranquillement à la première personne… ce qui, à ma connaissance, ne se fait plus depuis 1789 dans ce pays.
Je serais surpris que je sois le seul à l’avoir remarqué.
Et il y a d’autres signes encore…