Je suis en train de lire un livre, qui m’a été généreux offert par l’un d’entre vous, mes lecteurs chéris.
Il s’agit d’un livre de M. Luc Ferry, pour qui j’ai énormément d’estime.
L’ouvrage traite de l’IA.
Il commence par expliquer pourquoi ceux que le sujet n’intéresse pas, dont je faisais partie, ont tort, tant il est incontournable.
Il explique aussi qu’une partie de ce désintérêt vient d’une part du fait que les premières versions, surtout gratuites, des IA étaient perfectibles, mais que la progression ultra-rapide change la donne.
Il expose que l’autre motif légitime de désintérêt a pu venir de ce que des paramètres humains et des biais clairement « woke » (à moins qu’on dise « wokistes ») ont rendu ces mêmes premières versions ridicules (en créant des soldats nazis noirs de peau, par la volonté idiote d’inclusion de la part des programmeurs, par exemple – quand je dis « idiote, et je la fais courte, cela signifie que si vous demandiez à l’IA de créer des africains ou des asiatiques, pas de problèmes, mais avec des blancs, la machine refusait en prétendant ne pas être raciste… dans une absence de cohérence digne de ses créateurs et pas d’elle ).
Quoiqu’il en soit, je vous recommande cet ouvrage (« IA : grand remplacement ou complémentarité ? ») très instructif et rédigé manifestement par quelqu’un qui réfléchit par lui-même, ce qui explique sans doute pourquoi il s’est éloigné du monde politique.
Le message principal du livre est : tracassez-vous dès maintenant, parce que pour la plupart des métiers qui ne mêlent pas assez « l’esprit, le cœur et la main », il sera trop tard bien plus vite que ce que la majorité endormie imagine.
Et le hasard m’a donné un bel exemple.
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