A l’heure où l’Europe est fragilisée, entre autres choses par le départ de l’Angleterre (18% du budget de l’Union, 15.000 fonctionnaires), à l’heure où l’Otan est une institution quittée de facto par la Turquie et menacée par son principal contributeur, les USA et à l’heure enfin où l’Allemagne met en place des « mini solution européennes » (voir notre article sur le sujet), Bruxelles risquait, en plus de voir partir un bon paquet des 22.000 foyers fiscaux implantés en Belgique pour des motifs essentiellement fiscaux (sur 64.000 résidents français et franco-belge en Belgique, sources consulaires).
Ouf ! Fillon est dans les cordes, tandis que Macron, lui ne veut pas réellement toucher à l’ISF (Impôt Sur la Fortune). Dans son programme, l’ISF serait seulement changé en impôt sur “la rente immobilière“.
Autant de gros patrimoines qui devraient donc rester dans à Bruxelles, … à première vue, et maintenir les prix de l’immobilier Bruxellois, qui va en avoir bien besoin.
At a time when Europe is weakened, among other things by the departure of England (18% of the EU budget, 15 000 civil servants), at a time when NATO is an institution de facto departed from Turkey and threatened by its main contributor, the US, and at a time when Germany is setting up “mini European solutions” (see our article on the subject), Brussels risked, on top of it all, seeing a good package of the 22,000 taxed homes established in Belgium for tax purposes essentially (out of 64,000 French and Belgian residents in Belgium, consular sources).
Phew! Fillon is in the ropes, and as for Macron, he does not really want to touch the ISF (Tax On Fortune). In its program, the ISF would only be changed into a tax on “real estate rent“.
So many big heritages that should stay in Brussels, … at first glance, and maintain the prices of real estate in Brussels, which will need it.