L’immobilier dévisse.
La bourse est au plus haut : c’est-à-dire que la proportion de particuliers qui sont investis directement en bourse et les niveaux de valorisation se mesurent à l’aune de 1929, à la veille du krach. Et même un peu au-dessus.
Les états européens, dont la plupart sont au bord de la faillite (même le premier Ministre français l’a avoué explicitement, en parallèle de ce qu’avait déjà annoncé bien avant lui son prédécesseur, Monsieur Fillon, de façon on ne peut plus claire, pour la première fois en 2007, alors que le pays était nettement moins endetté qu’aujourd’hui) et impriment des billets à tour de bras, dans le but d’éviter l’inévitable, poussant l’or vers des records.
Comme le savent les Russes, il est très différent d’être au bord de la faillite et d’être « en faillite » déclarée.
S’il faut être aveugle ou très crédule pour ne pas voir dans quelle situation nous sommes, collectivement, quand bien même nous n’en pâtirions pas personnellement au quotidien, il y a tout de même des pépites et des bonnes nouvelles.
Ainsi, par exemple, de façon inattendue, la production manufacturière française a bondi de 3,5% en juin ( ! ), très essentiellement grâce à une envolée spectaculaire de l’aéronautique et du spatial (+27%): Airbus décolle et toute l’industrie aéronautique et aérospatiale dans son sillage.
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