A l’heure où la monnaie commune est susceptible de connaître quelques soubresauts que les Etats-Unis et leurs alliés financiers habituels de la City se feront un plaisir de monter en épingle

quotidiennement et à l’heure où ils se doivent de continuer d’attirer l’épargne mondiale chez l’Oncle sam qui risque, lui aussi, de connaître des petits soucis boursiers, vous risquez d’être attiré par de la brique libellée en dollars.

Vous êtes français ? Vous connaissez les FCPi.

Vous êtes belges ? Vous connaissez les SICAFi et leurs dérivés.

Vous êtes Luxembourgeois ? Vous connaissez les deux précédents parce que, des trois que je suis en train de citer, votre pays est à la fois le plus petit, le plus ouvert et, à bien des égards, celui qui joue le mieux de ces deux avantages « naturels ». Il n’a, en outre, pas grand besoin d’inciter les investissements dans sa brique : ils se font bien assez naturellement « tout seuls ».

Mais revenons à la brique libellée en dollars : connaissez-vous les REIT ?

Les REIT sont donc américains

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