Tout le monde se souvient de l’affaire Madoff, à la fois récente et vieille comme le monde. Basée sur une « bête » chaîne de Ponzi, c’est-à-dire un schéma dans lequel l’argent des nouveaux investisseurs sert à servir des rendements myrifiques aux anciens, l’échelle était impressionnante.
Les chaînes de Ponzi qui, en Belgique par exemple, avaient défrayé la chronique avec M. van Rossem, sont très difficiles à détecter puisque leur schéma de fonctionnement de base est sensiblement le même que dans un « vrai » fonds : les personnes qui font un appel public à l’épargne et, sous quelque forme que ce soit, sollicite les investisseurs en leur parlant de rendement.
En la matière, le vrai est difficile à démêler anticipativement du faux.
Mais … ça s’arrange.
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