Monsieur Obama était en France, au début de la semaine et il a évoqué sur la chaîne Internet « les Napoleons », les quatre menaces qui, selon lui, pèsent sur le monde.
Les 3 premières sont : 1) les inégalités, 2) l’absence de coopération internationale pour faire face aux grands défis, à commencer par ceux que posent l’évolution climatique et le terrorisme et 3) les états voyous et/ou anarchiques (sachant que c’est son pays à lui qui en donne la définition, unilatéralement.
Perso, j’aurais tendance à considérer qu’un état qui vous demande de payer plus d’impôt qu’en Suède pour avoir trois fois plus de fonctionnaires, mais six fois moins de service public est un état rempli à ras bord de voyous qui feraient mieux de se trouver des clients plutôt que de me racketter (en me jalousant, qui plus est, bande d’ingrats). Et ça me touche bien plus directement, dans mon quotidien, qu’un couillon qui, en Corée, joue avec des gros pétards.
Par contre, la quatrième menace est un peu plus inattendue et, de surcroît, il faut lui reconnaître une belle noblesse dans le geste parce que cette menace implique au premier chef son beau pays, à Mister Passed President : …
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