Il s’appelle Care.data. Il est opérationnel depuis quelques mois en Grande Bretagne. Il ne s’agit pas que qui, mais bien de quoi ? Il s’agit d’un logiciel qui intègre et compile intelligemment toutes les données qui ont trait à la santé d’une personne.

Il s’agit donc d’un outil précieux de compilations de données utiles, notamment à l’avancée de la recherche pour améliorer les soins médicamentaux destinés à telle ou telle population. Le problème est que, par défaut, le système prévoit que les données sont accessibles à la police et, moyennant paiement, aux assureurs et aux sociétés pharmaceutiques…

A nouveau, pour éviter Orwell, il faudra se rappeler que « science sans conscience n’est que ruine de l’âme ».

En attendant, vu le peu d’encadrements du système, je m’attends un de ces jours à un datagate… là ou ailleurs.

Pourtant, en Allemagne pur commencer, et un peu partout ensuite, sur un principe bien pus volontaire, l’Assureur Generali entend récompensé ses assurés qui lui communiqueraient des données médicales au sens large, communiquées notamment via leur smartphone (quantité de pas exécutés par jour, …) en vue de récompensé les bons élèves non seulement par des diminutions de primes, mais aussi par des cadeaux, tels des voyages, par exemple.

Ici, l’assuré qui choisirait de garder totalement confidentielles ses données continuera simplement à payer le prix plein.

Voilà deux façons d’envisager l’intégration et l’exploitation des données médicales intégrées très différentes.

Difficile de prédire laquelle sera la plus grande source de progrès, mais par contre, très facile de prédire laquelle est, d’entrée de jeu, la moins polémique.It is called Care.data. It has been operational for several months in Great Britain. It’s not just who, but what? It is a software that intelligently integrates and compiles all data related to a person’s health.

It is therefore a valuable tool for compilation of useful data, in particular the advancement of research to improve medical care for a given population. The problem is that, by default, the system assumes that the data are accessible to the police and, on payment, to insurers and pharmaceutical companies …

Again, to avoid Orwell, it must be remembered that “science without consciousness is but the ruin of the soul.”

Meanwhile, given the few frames of the system, I expect one of these days to have a datagate … there or elsewhere.

However, in Germany to begin, and then everywhere, on a principle much more voluntary, the Insurer Generali intends to reward its insured persons who would communicate to it medical data in the broad sense, communicated notably via their smart phone (amount of steps performed per day, …) in order to reward good students not only by reductions in premiums, but also by gifts, such as trips, for example.

Here, the insured who would choose to keep their data totally confidential will simply continue to pay the full price.

These are two ways of looking at the integration and use of very different integrated medical data.

Difficult to predict which will be the greatest source of progress, but on the other hand, very easy to predict which is, from the outset, the least controversial.