Il n’y a pas si longtemps, nous soulignions qu’en dehors d’un article de la rédactrice en chef du Financial Times du mois de mars 2017, depuis près d’un an, on lit assez peu de critiques concernant l‘économie. On serait plutôt baigné dans les bonnes nouvelles sur ce front, et ce indépendamment d’une dislocation géopolitique qui s’accélère et se double d’un écroulement larvé de toutes les structures mises en place par les vainqueurs au lendemain de la seconde guerre mondiale.

De façon « inexplicable » (alors que c’est très facile à expliquer, comme on va le voir), l’économie et la bourse sont insensibles à toute mauvaise nouvelle, d’où qu’elle vienne. A faire passer Stéphan Eicher et son « déjeuner en Paix » pour un aimable plaisantin. C’est l’euphorie permanente. Mais, tout comme Stéphane, dans une autre chanson, va-t-on finir par tout avoir, « même ce que l’on ne voulait pas » ?

C’est l’avis de Monsieur Vittori. C’est très simple. Ça se lit très vite. Et c’est… wow… Accrochez vos ceintures. C’est parti.

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