La rentrée, c’est simple. La demande s’étiole, l’énergie reste chère et les taux d’intérêt restent élevés, voire continuent de s’envoler… Il en résulte très logiquement que la période qui s’ouvre plaide pour une certaine prudence et une certaine retenue dans les investissements

Par ailleurs, ça y est : nombre de pays d’Europe et les Etats Unis vont devoir demander à leurs créancier s’ils veulent bien leur faire à nouveau confiance, et remplacer leurs anciens crédits très bon marchés par des crédits infiniment plus chers.

Cela signifie que l’on se dirige plus lentement du tout et tout aussi sûrement vers une baisse des dépenses publiques occidentales, voire nouveau relèvement de taxes et d’impôts, si tant est que cela soit encore possible dans les pays les plus concernés par cette « problématique », que j’appellerais plutôt franchement « conséquence prévisible de nos choix collectifs ».

Cet été, le journal français « les échos » a fait une série sur « le rôle de l’inflation dans la révolution française », en dressant un parallèle aussi instructif qu’éloquent sur les conséquences socio-politiques de l’inconséquence.

A suivre.

Mais en attendant, regardons-y d’un peu plus près et, dans la mesure du possible, en ramenant la réflexion à hauteur d’un individu.

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