Le nucléaire. On a dans l’idée qu’au niveau militaire, il est synonyme d’échec à la guerre. Or, il suffit d’observer la réalité pour se rendre compte très vite qu’il n’en est rien. Le Viet-Cong a-t-il eu un instant peur que la France (qui disposait de l’arme atomique), puis les USA (qui l’avait utilisée à deux reprises contre le Japon, en 1945) détruisent Hanoï ? Non. Est-ce que cela a empêché les Afghans de se battre contre les Russes, d’abord, contre une coalition à dominante américaine ensuite ? Non.
En réalité, on pense peut-être de façon totalement stupide être protégés par « le parapluie nucléaire », parce qu’on nous a mis cette idée en tête depuis tout petits, mais il suffit d’observer deux secondes comment les guerres se déroulent de ci, de là, pour s’apercevoir que depuis 1945, aucun belligérant n’a très envie de jouer avec ces machins-là.
En ce beau week-end qui continuait d’illustrer la thèse du réchauffement climatique de façon sympathique, il semblerait que Monsieur Trump devait s’ennuyer. Il a donc passer en revue des traités à dénoncer, et il a dû tomber sur le nucléaire, qui a manifestement retenu son attention.
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