Un petit pas de plus vers le contrôle étatique de l’entrepreneuriat et l’immixtion dans les choix des décideurs.

Chaque année, la banque de France donne une note de crédibilité aux entreprises qui opèrent sur le sol Français et qui y réalisent un chiffre d’affaires de plus de 750.000 euros.

Cette note est évidement cruciale pour obtenir du crédit.

A côté de ladite note, il y aura bientôt une note « climat ». Si, si.

Est-ce vraiment là le rôle d’une banque centrale ?

Cette évolution s’observe, alors même que les consommateurs Européens n’achètent plus de voiture électrique, de moins en moins de bio et ne sont pas intéressés par les placements ESG, comme le rappelait une étude réalisée mondialement par Allianz et citée la semaine dernière.

Il y a vraiment un décalage de plus en plus fort entre les décisions sponsorisées d’une manière ou d’une autre par le système fisco-financier et la réalité économique, qu’il s’agisse de celle des entrepreneurs ou des consommateurs.

La question devient donc : jusqu’à quand cette déconnexion va-t-elle pouvoir être soutenue sans heurts sociaux ?

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