Chanel rend ses chiffres publics pour la première fois de son histoire. On découvre un chiffre d’affaires est de 8.3 milliards d’euros. C’est plus que Gucci. C’est à peine un peu moins que Louis Vuitton. Le résultat opérationnel est de 2.3 milliards d’euros… Le luxe français (également « madaille d’argent pour l’horlogerie, d’après Bâle) se porte décidément bien.
Mieux que les exportations de la Marine de Guerre : en Malaisie, la police rouvre une enquête sur le meurtre d’un mannequin d’origine mongole en indiquant que le meurtre de ce mannequin serait lié à la vente de sous-marins français…
Décidément, après les frégates, il semblerait que dès lors qu’il est question pour les français de vendre des machins dangereux qui vont dans l’eau, les services secrets se mouillent, en Asie.
Heureusement, dans le luxe, autre grand produit d’exportation français, c’est plus beau, mais c’est aussi plus propre.
Blague à part, y aurait-il d’autres enseignements, de préférence plus larges, à tirer de ces petits constats ?
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