Il y a peu, nous indiquions, en écho aux propos de M. Faber (Docteur Doom) que le scénario de contestation de la victoire du candidat à la maison blanche, quel qu’il soit, pourrait être un déclencheur d’une nouvelle secousse boursière de grande amplitude.

Si ce n’est pas perceptible dans le niveau des indices boursiers, lesquels sont au plus haut, le scénario est clairement visible au travers des achats massifs d’options de protection à la baisse, des options puts, sur la période post-élection américaine.

Au tout début de l’assaut azéri au Haut Karabakh, avant même que les médias de masse n’en parlent, nous évoquions le fait qu’en raison de l’implication d’un allié extrêmement proche de la Turquie, ce ne serait pas forcément l’OTAN qui initierait l’invitation au cessez-le-feu, mais que l’initiative pourrait venir d’une France invitée à prendre le leadership sur l’Union militaire Européenne (instituée par l’article 43 du Traité de Lisbonne) avec un soutien de Trump et de la Russie.

Cette démarche conjointe a eu lieu, après que nous l’ayons anticipée.

C’est bel et bien une démarche qui implique l’Europe puisque c’est celle-ci, dans son ensemble, qui menace la Turquie.

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