J’ai relu des économistes classiques, récemment.

Plus qu’instructif.

A l’heure où j’écris ces lignes, notez que la Grande Bretagne maintien son taux directeur à 5,25%, consciente probablement, que la dette obligataire augmente partout dans le monde et qu’il lui faut rester attractive. Ils le savent d’autant mieux que ces inventeurs de la finance moderne savent qu’il y en a des montagnes qui vont devoir être refinancées dans pas longtemps.

Vu que les USA proposent le même ordre de grandeur en matière de taux, j’avoue que j’ai eu du mal à découvrir des statistiques officielles qui soulignaient combien nombre d’investisseurs français étaient très heureux de se voir proposer du 2%. Je proposerais bien volontiers du 3% à qui veut ! Il me resterait largement de quoi aller à la plage. Sainte et très rentable innocence ! Une telle naïveté me paraît à peine croyable, mais il est vrai que j’oublie souvent combien mes contemporains ne lisent pas et combien cela fait peut faire le lit des habitués des pages saumons du Figaro.

Quoiqu’il en soit, la semaine dernière, j’ai donc à nouveau émis un sérieux doute sur la baisse des taux aussi annoncée qu’attendue, en Europe.

Et, dans ce cadre, j’avais promis à mes lecteurs chéris, pour cette semaine, une petite analyse complémentaire sur le sujet.

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