En me promenant dans une librairie, à une époque pas si lointaine (cet été) où la chose était encore possible sans devoir enfiler une combinaison spatiale, je suis tombé sur un ouvrage dont le titre a retenu mon attention.
« Superintelligence »
C’est traduit en allemand, mais pas en français. Je l’ai acheté en anglais, d’autant qu’au dos, on pouvait y lire « Valuable » (The Economist), « Worth reading…we need to be supercareful with AI » (Elon Musk), « This superb analysis… » (Machin, Professeur au MIT) et, last but not least : « I highly recommend this book » (Bill Gates… himself).
Le bouquin est bien écrit, facile à lire et on en apprend plein sur ce qu’il y a moyen de faire avec l’intelligence artificielle.
A lire ledit bouquin, dont c’est le credo et le leitmotiv, nous, les humains, serions voués à l’obsolescence. Et ce serait inéluctable.
Sauf que je vais vous rassurer un maximum et pas n’importe comment.
Je vais vous rassurer en vous résumant le dernier bouquin de Judea Pearl (lauréat du Prix Turing, le Nobel de l’informatique pour ledit bouquin).
S’il était encore permis de boire un verre ou d’organiser des cocktails ou même simplement de s’y rendre, ça vous donnerait l’occasion de frimer.
Ce n’est pas le cas, mais ça va vous donner de l’optimisme. Je le garantis (et j’espère même vous faire sourire encore un peu, au passage).
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