Relativisons : si vers 800, Erik Le Rouge a décidé de baptiser « Groenland » le « Pays vert », c’est pas pour rien !

Imaginons que nous sommes le 24 juin et, la veille, vous avez lu les parties du rapport du GIEC qui ont fuité dans la presse.

Résultat, vous avez le moral dans les chaussettes.

Et pour cause, puisque ce charmant programme nous promet, dans le désordre : la famine.
la pénurie d’eau, les exodes massifs, les pandémies… et j’en passe, le tout avant la disparition, inéluctable et quoiqu’on fasse de l’être humain (y compris planter des éoliennes partout, donc).

Ce n’est pas moi qui le dit, c’est ce charmant rapport. Je cite : « La vie sur Terre peut se remettre d’un changement climatique majeur en évoluant vers de nouvelles espèces et en créant de nouveaux écosystèmes. L’humanité ne le peut pas ». Voilà, c’est dit.

La Terre existera donc toujours, mais malheureusement, sans nous, car nous allons disparaître.

Rassurez-vous : Perluciditas va vous rendre le moral.

Pas uniquement en vous signalant que, si l‘on en croît ces milliers de pages et vu qu’il y aura 2,5 milliards de personnes touchées par le manque d’eau, il est temps d’investir dans Neslté, BSN-Danone, Coca-Cola et tous les autres, en ce compris Veolia Environnement, numéro Un mondial des « water public utilities »…

Non. Je vais vous rendre le moral de façon moins cynique et moins nationaliste, même si ça vous amuse.