Une partie de mon travail consiste à produire des formations en matière de droit financier, et notamment en matière d’ « AML/ LBC » (« Anti Money Laundering » ou « lutte contre le blanchiment »), matière dans laquelle l’inflation législative est telle qu’il devient difficile, même pour un spécialiste aux aguets, de prétendre faire le tour de la question.

En l’occurrence, c’est en préparant une prochaine conférence sur le sujet avec l’Université Française de Paris Dauphine (pour le Master Complémentaire en droit de la gestion patrimoniale Internationale) qu’au hasard de mes recherches, j’ai découvert que « la crypto », telle qu’on la connaît aujourd’hui, avait vraiment peu de chances d’avoir un avenir.

Voici pourquoi.

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