Monsieur Macron (pour rappel : ancien Directeur des Finances, à Bercy, soit dans un pays « Colbertiste », donc très interventionniste, et qui est passé par une « banque d’affaires » dont la raison d’être consiste donc à favoriser les méga-fusions d’entreprises et les privatisations, mais on est en démocratie et tous ces aller-retours entre le public et le privé sont très sains, puisqu’on vous le dit) a donc renoncé à la privatisation des aéroports de Paris.

Il n’y aura donc pas de referendum organisé sur la question.

C’est fou comme la simple idée d’organiser des referendums peut modifier le schéma de pensée de nos mandataires politiques : ils semblent se rappeler soudain qu’ils ne sont « que » mandataires de ce peuple qu’il s’agit d’interroger et, bizarrement, ils semblent avoir une meilleure idée de ce que l’électeur moyen penserait de son intérêt dans telle ou telle situation.

Vive la Suisse libre !!!